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 Eizouna Tsukimi / Menohan

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MessageSujet: Eizouna Tsukimi / Menohan   Eizouna Tsukimi / Menohan Icon_minitimeMer 9 Avr - 16:21

Like a Star @ heaven Nom Complet : Eizouna (image/reflet) Tsukimi (regarder la Lune), on la surnomme Eizou.
Like a Star @ heaven Nom dans le jeu : Menohan (l’autre moitié/l’inverse) dit Meno
Like a Star @ heaven Âge : 16 ans
Like a Star @ heaven Race dans le jeu : humain
Like a Star @ heaven Famille :
Ses vrais parents son mort et elle fut élevée par le propriétaire d’un dojo nommé Hirokumi. Pour ses 14 ans, elle retrouve sa sœur jumelle : Yasuko.
Like a Star @ heaven Personnalité :
Eizou est une jeune fille discrète et qui n’aime pas beaucoup parler. Elle a toujours été seule avant de retrouver Yasu-chan. Bizarrement, aucune autre personne n’avait réussit à combler ce vide qui s’était créé dans son cœur avec l’absence de se sœur, même pas Hiro-kun.
Eizou n’a jamais vraiment eu d’amis, préférant rester des heures assise sur le toit du dojo à écouter de la musique plutôt que de sortir entre copines. Elle n’est en effet pas très féminine et parle plus comme un mec que comme une fille. Elle est réfléchie et calme et préfère regarder une bagarre plutôt que d’y participer. De toute façon son père adoptif lui ayant interdit de se battre pour de vrai, elle n’y voit aucun intérêt. En effet depuis qu’elle est toute petite Hiro-kun lui enseigne toutes sortes de techniques de combats si bien qu’elle finit par se passionner pour les combats.
Parallèlement, son père adoptif lui a aussi enseigné à se contrôler et à se détendre. Ce petit plus ajouté au caractère de Eizou fait qu’il est extrêmement difficile de la mettre en colère. D’ailleurs, elle ne se souviens d’avoir vraiment pété un plomb qu’une seule fois dans sa vie…et ce n’était pas joli joli à voir.
Mais Eizou possède aussi une de ces auras de tranquillité qui rassérène les gens. Du coup, elle est une des rares personnes à réussir à calmer sa sœur une fois celle-ci déchaînée. Bizarrement, elle arrive toujours à trouver les paroles qui la calme et la rassure. Sûrement parce qu’elle sont jumelles…

Like a Star @ heaven Son physique :
Eizouna est assez petite pour son âge. D’ailleurs, elle est aussi plus petite que sa sœur bien qu’elles soient jumelle. Elle a aussi un look beaucoup plus « garçon ». Elle porte ses cheveux argents très courts et vu qu’elle est plate comme une limande, on oublie souvent qu’on a affaire à une fille. Seuls ses grands yeux gris foncés peuvent nous mettre sur la voie.
Elle est assez musclée (même si c’est des muscles discrets vu qu’elle est assez maigre en plus d’être petite) du fait d’un entraînement quotidien aux arts martiaux. En effet, même si les profs de l’orphelinat lui ont interdit de se servirent de son katana dans l’établissement, toutes les nuits elle monte sur le tit pour s’entraîner, la musique à fond dans ses oreilles. Elle n’aime pas non plus porter de jupes ou de robes car elles ne sont vraiment pas pratiques pour courir ou se battre. Elle leurs préfère de loin un bon vieux pantalon et une chemise.
Elle dégage une aura de tranquillité qui fait que les gens aiment beaucoup être auprès d’elle. Ses mouvements sont toujours rapides et précis et ne manques pas de grâce. Bien qu’elle soit naturellement discrète et détachée du monde, le fait d’avoir retrouvée sa sœur survoltée lui a donné du charisme et de la présence.
Question sport, nul ne peut rivaliser avec sa vitesse. A la course elle arrive toujours première. Néanmoins, dès qu’on quitte le domaine de la rapidité, c’est toujours Yasu-chan qui gagne haut la main. Eizou n’est pas très forte mais les arts martiaux ont développés chez elle une souplesse étonnante. Mais bon, vu qu’elle n’aime pas beaucoup faire son intéressante, peu de personne l’ont déjà vu faire un saut périlleux ou un grand écart.

Like a Star @ heaven Son physique dans le jeu :
Dans le jeu… Alors là Aï ! Je peux vous dire que ça lui a fait un choc quand elle s’est vue dans une glace. En effet, vu qu’elle n’avait pas franchement d’avatar car ce n’était pas elle mais sa sœur qui jouait, le jeu a fait un mixage entre un personnage trouvé sur le réseau et elle-même. Du coup bin… La voilà dans la peau d’un mec ! Bon d’accord, un mec beau gosse et tout et tout mais d’un mec quand même !
Elle s’est donc retrouvée avec des cheveux blancs crèmes et bien plus haute que d’habitude. D’ailleurs, la première fois qu’elle s’est mise debout dans sa nouvelle apparence, ce fut pour retourner illico le nez contre le parquet. Faut dire que ça choc de passer d’un mètre soixante à un mètre quatre-vingt. Et ses sandales bizarres aux talons de cinq centimètres n’avaient pas franchement arrangées les choses. Enfin bref, ce fut véritablement un choc pour elle d’arriver dans ce nouveau monde.
Mis à part son changement de sexe, Eizouna avait gardé ses grands yeux gris et un visage aux traits fins ce qui la rendait plus féminine. En gros elle s’est retrouvée dans le corps d’un mec au visage féminin.
Pour vêtements, elle s’est réveillée avec un étrange ensemble gris, crème et jaune brodé un peu partout de longues plumes venant d’une espèce indéterminée. Mais à son plus grand soulagement, elle avait aussi un fourreau ainsi qu’un katana ce qui la rassura un peu sur son sort (déjà pas franchement banale). Mais son plus grand bonheur, fut quand elle découvrit ses écouteurs et son lecteur MP3 à ses pieds. Visiblement, celui-ci l’avait suivit dans les entrailles de Flash-Macro.

Like a Star @ heaven Goûts :
Eizouna est une fille simple qui aime les choses simples comme le bonheur d’avoir une famille ou simplement un bon dîner avec sa sœur. Mais bien sûr, Eizou a aussi des êtres chers qu’elle aime plus que tout comme Yasu-chan et Hiro-chan. Malheureusement l’un est mort et l’autre à disparu aussi fera-t-elle tout ce qui est en son pouvoir pour retrouver sa jumelle. Elle aime aussi se battre et ses entraînements. Son petit plaisir c’est d’écouter de la musique à fond tout en découpant ses pantins d’entraînement. Dans Flash-Macro, elle fera d’ailleurs pareil mais cette fois-ci avec ses ennemis.

Like a Star @ heaven Armes et compétences au combat dans le jeu :
Eizouna se sert avant tout de son katana et de ses poings. Cependant, elle a aussi en sa possession un pistolet englueur trouvé sur le cadavre d’un ennemi qui l’avait attaqué.
Elle est douée pour le combat car s’y est entraînée toute sa vie. Néanmoins, et bien qu’elle ait gagné en puissance grâce à son corps d’homme, ses brusques changements physionomique font qu’elle a du mal à se déplacer avec la même vitesse que dans la réalité. De plus elle en est devenue extrêmement maladroite.

Like a Star @ heaven Autres :
Alors là c’est assez compliqué…En fait, Eizouna s’est rendue compte qu’elle avait un mélange entre un billeur et un affineur comme moyen de locomotion. Hum… Comment expliquer…Disons que c’est une sorte de surf qui se déplie à partir de ses chaussures et qui lévite au dessus du sol jusqu’à trois mètres environ. Dessus, elle arrive à atteindre une vitesse de 70 à 80 km/h.

Vous :

Like a Star @ heaven Comment avez-vous connu le forum ?? Disons qu’une certaine personne à largement insistée pour que je vienne (je râle je râle mais en ait j’aime beaucoup mon perso donc…ba je crois que je vais arrêter de râler !^^).
Like a Star @ heaven Votre PUF : Alors alors… El (diminutif de Eldanòrë), Yuna, Cath et maintenant Eizouna voir Eizou.
Like a Star @ heaven Connexion : Assez rare hélas
Like a Star @ heaven Que pensez-vous du forum ? J’aime beaucoup le concept (bravo Babar pour cette idée originale !!!!) donc bravo bravo bravo !!!!^^


Dernière édition par Eizouna le Jeu 10 Avr - 19:56, édité 22 fois
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MessageSujet: Re: Eizouna Tsukimi / Menohan   Eizouna Tsukimi / Menohan Icon_minitimeJeu 10 Avr - 18:32

[Désolé pour le double poste mais je poste mon histoire !^^]

Like a Star @ heaven Sa vie :
Eizou est la fille d’une pauvresse et d’un passant. Ou en fait non, c’est bien plus compliqué. En effet, bien que sa mère soit une femme ayant à peine de quoi se nourrir et son père l’héritier d’une riche famille aristocratique, ils étaient tous deux tombés amoureux l’un de l’autre dès le premier regard. Ils avaient même prévus de se marier ! Pour sa mère, le bonheur semblait enfin pointer du nez.
Mais il suffit d’une nuit, d’une seule et unique nuit pour que leurs destins basculent. Cette nuit fut la première où ils couchèrent ensemble. Au bout de quelques mois, alors que son ventre devenait de plus en plus rond, sa mère fut obligée de tout dire à celui qu’elle aimait. Fou de colère contre cette femme qui l’enchaînait à un autre destin que celui qu’il s’état choisi, il l’a battit à mort. Elle, sa chère et tendre à qui il avait promis tant de choses… Lui qui n’avait fait que lui mentir pendant tout ce temps et qui ne la voyait que comme une aventure comme les autres.
La jeune femme endura les coups un par un, tentant en vint de protéger son ventre ou la vie se créait. Quand il eu finit, il l’a jeta dehors. Elle tangua un moment avant de s’écrouler sur le palier. La pluie se mêlait à son sang. C’est alors qu’elle jura. Elle jura qu’elle se vengerait de cet homme sans cœur qui avait menacé la vie de son enfant. De leur enfant. Elle jura sur la pluie et son sang mêlé, sur le vent qui sifflait entre les branches de cerisier et sur l’enfant qu’elle portait. Oui, elle se vengerait.
Quelques heures plus tard, la police vint la cherchée, appelée par son père. Elle fut jetée en prison où elle reçut quelques soins. Puis fut une nouvelle fois mise dehors. Pendant les sept mois qui suivirent elle erra de tribunaux en tribunaux afin de réclamer justice. Mais personne ne l’écouta. Après tout, elle n’était qu’une pauvre fille de la rue, sûrement une prostituée qui avait imaginé tout ce stratagème pour récupérer la fortune d’un de ses clients. Qu’est-ce qui prouvait d’ailleurs qu’elle était bien enceinte de lui ? A tous les coups, elle l’avait trompé avec cinq ou six autres hommes.
Quand vint le jour de la libération, l’accouchement se passa très mal. Elle accoucha en pleine rue sous une nuit noire, n’ayant plus assez d’argent pour se loger. Quand le travail fut finit, ce ne fut pas un enfant mais deux petites filles qui pleuraient qui apparurent devant ses yeux. Mais celles-ci lui rappelèrent tellement leur père que la jeune femme sentit une colère sourde monter en elle. Elle ne voulait pas de ces enfants et n’en voudrait jamais.
Bien que sa haine pour ces petites filles ne fut jamais si grande qu’à cet instant, elle ne put se résoudre à les abandonnés en pleine rue, comme ça. Malheureusement trop faible pour porter les jumelle, elle n’en prit qu’une des deux et disparue dans les rues essayant d’ignorer les cris de son second enfant.
Elle mourut deux rues plus loin. L’accouchement lui avait volé trop de sang et cela faisait des jours qu’elle n’avait pas vraiment mangé. Un homme qui sortait de chez un ami à cet instant précis vu la jeune femme s’écrouler. Mais il eu beau se précipiter vers elle, elle était déjà morte. Quand il croisa les deux grands yeux gris foncés l’homme tomba sous le charme. Avec le téléphone de son ami, il appela la police pour qu’on vienne récupérer le corps de la jeune femme et insista pour qu’elle ait une tombe descente. De toute façon, c’était lui qui payerait.
Quand il eut finit avec la paperasse, il ramena la petite fille chez lui, à son dojo.
Il lui donna le nom de Eizouna car c’était le seul mot qu’il avait entendu prononcer la jeune femme avant qu’elle ne meurt. Peut-être celui-ci avait-il une signification précise mais en tout cas jamais Hirokumi (c’est son nom XD) ne l’apprit. Pendant quatorze longues années il éduqua celle qu’il prenait pour sa fille. Néanmoins, il lui révéla très tôt comment il l’avait trouvé. Le caractère posé de l’enfant ainsi que son amour pour son père adoptif avait fait qu’elle avait parfaitement bien prit la chose.
Hiro-kun lui apprit en plus du yoga et de la maîtrise de soit à se battre à mains nues ainsi qu’avec toutes sortes d’armes. Son caractère assez introverti ainsi que son goût des efforts firent qu’elle atteignit rapidement un très bon niveau. Elle était bien plus douée que certains élèves plus vieux qu’elle. Le seul point qui énervait quelque fois Hirokumi était qu’elle ne se mêlait pas assez aux autres et que ses manières étaient plus masculines que féminines. Mais d’un autre côté (son côté papa gâteau en fait) il était très content que les garçon qui tournaient de façon un peu trop intéressé autour de son Eizou-chan soient quasiment inexistant.
A la maison, vu qu’Hiro-kun était le stéréotype même du mec pas doué pour les travaux ménagers (dans le genre je mets les vêtements sales dans le lave-vaisselle) c’était Eizou qui s’occupait de tout.
Mais ce joli tableau avait aussi ses côtés sombres. Les factures s’accumulant sur le bureau d’Hirokumi en faisaient partit. La petite famille faisait face à ce problème du mieux qu’elle pouvait mais un groupe immobilier puissant et riche leur mettait de plus en plus de pression pour qu’ils leur vendent le dojo. Afin, disaient-ils, de construire un immeuble à la place. Mais plus le temps passait et plus le groupe immobilier s’énervait. Fatigué d’attendre, ils embauchèrent discrètement une bande de voyous contre un peu d’argent afin de refaire correctement le portrait à ce petit emmmerd*** de Tsukimi (-> le nom de famille d’Hirokumi est Tsukimi).
Tout se passa alors qu’Eizouna était à l’école. Quand elle revînt au dojo, ses écouteurs sur les oreilles, ce qu’elle découvrit la laissa horrifiée pendant quelques minutes. Dans la pièce principale, celle qui leur servait de salle d’entraînement, le parquet était couvert de sang. Au centre gisait son père, Hiro-chan, inerte. Juste à côté de lui, un petit garçon de six ans pleurait. Eizou le reconnu aussitôt, c’était l’élève qu’Hirokumi avait tous les lundi de cinq heures à six heures. L’adolescente s’approcha doucement de lui et le prit dans ses bras. Ils pleurèrent ensemble devant le cadavre pendant le reste de l’heure.
Entre deux sanglots, le petit garçon parvint à lui expliquer ce qui s’était passé. Une bande de six hommes avait brusquement débarqués et l’avaient attrapé et menacé d’une arme. Hiro n’avait put alors se défendre sous peine de voir l’enfant se faire tuer. Ils l’avaient ensuite rués de coups jusqu’à ce que mort s’en suive. Cette dernière phrase avait fait frissonner la jeune fille. Elle avait l’impression d’avoir déjà assisté à une telle scène mais ne savait plus où.
Au bout d’une demi heure, Eizouna se leva et emmena le petit garçon dans une autre pièce, loin du massacre. Elle appela la police qui arriva quelques minutes plus tard accompagnée de la mère de l’enfant. Chacun fit sa déposition et le crime fut classé.
Une semaine plus tard, alors qu’Eizou essayait tant bien que mal de continuer à vivre, elle reçut la visite d’un promoteur immobilier qui lui annonça que le dojo appartenait désormais à son entreprise et qu’elle devrait quitter les lieux avant la fin du mois.
Ce fut un choc pour la jeune fille. Elle qui n’avait jamais vécu la colère, elle sentie celle-ci monter en elle comme la lave d’un volcan. Sentant sûrement que l’éruption était imminente, l’homme s’empressa de partir. Mais l’adolescente ne se laissa pas prendre par surprise et saisissant le katana de son père, elle se lança à sa poursuite. Bien sûr, elle aurait très bien put le rattraper facilement. Après tout son point fort avait toujours était sa rapidité. Mais il fallait d’abord qu’il ait peur, qu’il se sente traqué. Il fallait qu’il rejoigne son dernier refuge à la fois discret et pratique. Les hommes qui avaient tué Hiro-chan.
La nuit venait de tombée et les rues se faisaient déserte. L’homme transpirait de plus en plus, conscient d’être chassé. Il était la proie, elle le prédateur. S’il ne trouvait pas rapidement un terrier ou se terrer, il se ferait dévorer. Non, ce n’étai pas possible ! Il ne pouvait pas mourir maintenant ! Il était enfin parvenu à devenir ce qu’il avait toujours souhaité : riche et puissant. Il avait même une famille ! D’accord, lui et sa femme étaient au bord du divorce et son fils ne lui parlait presque plus. Et puis, son véritable travail en tant qu’ambassadeur français au Japon était de plus en plus difficile. Il avait finalement choisit de racheter une entreprise immobilière et avait fait fortune. Son pouvoir avait encore grandit et il collectionnait les maîtresse. Non, décidemment, il ne pouvait pas mourir. Mais pourquoi avait-il tant tenu à annoncer la nouvelle à cette fille de lui-même ? Il avait tellement de subordonnés qui auraient put s’en charger… Il avait fallut qu’il sente encore sont pouvoir s’affirmer en rabaissant encore cette misérable gamine. Gamine qui représentait maintenant un danger…mortel.
Dans sa course, l’homme heurta un passant qui se retourna brusquement et le saisi à la gorge. Mais il le reposa aussitôt quand il compris à qui il avait affaire.

« Ah c’est vous patron ? Qu’est-ce que vous venez faire par ici à une heure pareille ? C’est dangereux vous savez ?

-Je…je …au secours !!! Elle est folle…complètement cinglée…Aidez-moi…Je vous payerais…

-Eh ! Calmez-vous, je comprends rien à votre charabia ! Vous voulez qu’on vous aide ? l’homme hocha la tête, Faut qu’on tue une femme c’est ça ? nouveau hochement de tête, Laquelle ? »

Le français montra un coin d’ombre du doigt.
Un sourire se dessina sur les lèvres de l’adolescente. Tout se passait comme prévu. Voir les hommes qui avaient si froidement assassiné son père sous les yeux d’un enfant faisait bouillir son sang dans ses veines. Lentement, elle sortit de l’ombre pour que le groupe de sept hommes puisse l’examiner de tout leur soûl. De toute façon, ce serait sûrement la dernière chose qu’ils allaient voir. Six gangsters et un homme d’affaire. Ca aurait pu faire un bon titre de film. Dommage que les protagonistes voient leur fin arriver si tôt, bien avant le générique…
Il y eu quelques ricanement dans la petite troupe quand ils découvrirent celle qu’ils devaient tuer. Ce serait un jeu d’enfant, sils pouvaient s’autoriser la plaisanterie. Elle devait avoir douze ou treize ans, peut-être plus. Dans tout les cas elle ne représenté pas un grand danger pour eux.

« Erreur. »

Le voyou et l’homme d’affaire sursautèrent et se retournèrent en même temps. La gamine avait brusquement disparue de leur champs de vision et voilà qu’elle était dans leur dos ! La crapule tenta de sortir son poignard mais il fut trop lent, bien trop lent. D’un geste rapide et précis, Eizou l’avait décapité. Le corps retomba moue sur le sol, aussitôt suivie de sa tête.

« Pitié !!! »

L’adolescente plaça sa lame contre la gorge de sa victime, prête à trancher. De la pitié ? Il lui demander d’avoir de la pitié ? Mais est-ce que lui en avait eu quand il avait ordonné à ce qu’on assassine son père ? Est-ce qu’il avait seulement pensée à la vie qu’il avait fait enlevée à la Terre ?
L’homme était acculé contre le mur, sans espoir de fuite. Eizouna appuya légèrement sur sa lame, faisant perler une goutte vermeille sur le cou blanc du français. Il tenta une dernière fois de s’enfuir mais elle l’en empêcha en lançant de sa main libre deux shuriken qui vinrent se planter dans la veste de l’homme. En se débattant en vain, il déchira l’une de ses poches sur les lames des étoiles d’acier. Son contenu se déversa sur le sol dans un bruit mat. Eizou tourna la tête, surprise. Le français essaya alors de s’enfuir mais la lame du katana pointée sur sa gorge lui interdisait tous mouvements.
Parmi les objets tombés sur le sol, il y avait le portefeuille de l’homme. Celui-ci s’était ouvert dans sa chute laissa bien visible une de ces photos de famille que l’on garde toujours sur soit. Une photo banale avec un homme, une femme et un enfant. C’était u petit garçon souriant qui devait avoir cinq ans ce jour là. Tous les trois se trouvaient dans un jardin autour d’une table de pique-nique. Le petit bonhomme avait du beurre sur le nez et louchait tandis que sa mère, riant au éclat essayait tant bien que mal de le lui enlever.
Les larmes montèrent aux yeux de l’adolescente. Qu’est-ce qu’elle aurait aimé elle aussi vivre ces instants magiques encore une fois ! Mais c’était trop tard. Hiro-chan était mort et elle n’aurait bientôt plus de jardin où pique-niquer. Néanmoins, voir le sourire de ce petit garçon lui fit prendre conscience d’autre chose. Si elle tuait cet homme maintenant, cet enfant non plus ne pourrait plus pique-niquer avec ses parents dans son jardin. Lui aussi il se sentirait terriblement seul. Elle n’avait pas le droit faire vivre cela à un innocent. Non, elle n’avait pas le droit.
Sans un mot de plus, Eizou disparue dans la nuit, laissant l’homme tremblant de peur, toujours planté à son mur.
Elle erra en ville toute la nuit, son sabre accroché dans son dos. Elle ne pouvait plus rentrer chez elle, l’homme avait sûrement appelé la police. Au lieu de ça, elle se rapprocha de plus en plus de la périphérie de la cité. Là où les immeubles laissaient place à la campagne.
Alors qu’elle passait devant un grand bâtiment d’architecture occidentale, son regard vide croisa celui d’une jeune fille qui jouait dans la cour. Elle était entourée d’autres filles et paressait avoir le même âge qu’elle. Mais il n’y avait pas que cela qu’elles avaient de semblable. En effet, Eizouna avait l’air de se regarder dans un miroir et que son reflet lui souriait. Bien entendue, cette image était nettement plus féminine qu’elle et devait sûrement moins ressembler à un zombi qu’elle mais mis à part ces détails, les deux adolescentes se ressemblaient comme deux gouttes d’eau.
En la voyant apparaître, la jeune fille s’était elle aussi arrêtée en plein mouvement. Au bout de quelques minutes, Eizouna se décida à avancer vers l’inconnue. Dans sa tête les pièces du puzzle commençaient à prendre place. Voilà pourquoi sa mère l’avait appelée « reflet ». En fait, elle était née avec une sœur jumelle ! Cela expliquait bien des choses… Notamment son sentiment d’éternelle solitude qui l’avait toujours poursuivit mais qui, par miracle, venait soudainement de disparaître lorsque qu’elle avait croisé les yeux de sa sœur.
Elle s’appelait Yasuko mais Eizou la surnomma dès le premier instant Yasu-chan. C’était si naturel ! Il n’avait fallut que quelques secondes pour qu’elles se retrouvent. C’était comme si deux moitié d’un même être avaient enfin réussit à se re-scotcher.
Eizou vint habiter avec Yasu-chan dans l’orphelinat car elle n’avait plus ni maison ni parents. Et puis il était hors de question qu’elles se séparent de nouveau maintenant qu’elles s’étaient retrouvées.
C’est pour leurs 16 ans qu’on leur offrit le dernier jeu à la mode : Flash Macro. Exitées comme des puces, elles s’étaient précipitées pour l’essayer. Mais rien ne s’était passé comme prévu. Alors qu’elles venaient de lancer le jeu, une lumière blanche avait illuminée la pièce et…absorbée Yasu-chan ! Eizou, qui elle, regardait sa sœur essayer le jeu, n’avait pas été happée par la lumière, néanmoins, au dernier moment, alors qu’il ne restait de sa chère sœur que des contours plus que flous, elle l’avait attrapée par le bras et avait elle aussi plongée dans la lumière.
Eizouna ne se souviens plus alors que d’un étrange bip sonore. Comme si l’ordinateur n’avait pas apprécié qu’il y ait plus de données que prévues qui s’enregistres. Puis, ce fut le noir.

Quand Eizouna se réveillera, elle aura une très mauvaise surprise.
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Eizouna Tsukimi / Menohan
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